Accéder à la dernière version du modèle IFOPT: IFOPT
Projet de traduction en Français: IFOPT FR
Pour mieux comprendre IFOPT, des supports de formation sont mis à disposition ci-dessous:
concept darret dans IFOPT FormationTI2009_1_Mode_de_compatibilite_session1
concept darret dans IFOPT FormationTI2009_1_Mode_de_compatibilite_session2
concept darret dans IFOPT FormationTI2009_1_Mode_de_compatibilite_session3
Groupes de travail consacrés à IFOPT:
Groupe de Travail au plan européen : CEN/TC278/WG3/SG6
Suite à enquête publique au CEN, IFOPT devient norme PR NF EN 28701.
Groupe de Travail miroir au plan national en France : l’AFNOR/BNEVT/CN03/GT7/GT7.1 + site de l’AFNOR
Autres liens utiles :
Etude sur les Localisants dans les Transports Publics conduite en 2005 pour le CERTU et à l’origine de la spécification technique IFOPT.
Page du site de Transport for London présentant IFOPT
Etude: quelle organisation pour un Référentiel des Arrêts?
Guide de mise en oeuvre d’un Référentiel de l’offre théorique de Transport Public
Ce document, mise à jour 2013 d’un guide réalisé en 2011, présente la notion générale de référentiel de données, son application aux données d’offre théorique de transport public, dont en particulier les données décrivant les lieux d’arrêt (en s’appuyant sur IFOPT).
Enjeux d’IFOPT
La codification et description des arrêts n’est par harmonisée, en particulier en France. Par exemple, les arrêts sont décrits avec plus au moins de détail, de différents points de vue fonctionnels : un concept nommé « point d’arrêt » peut recouvrir des réalités différentes selon la fonction considérée. Ce fait crée une certaine difficulté de mise en en place de systèmes d’information multimodale et télé-billettique et de communication entre ces systèmes.
Il a donc été jugé indispensable, notamment dans le cadre de la problématique de l’information multimodale, de décrire et codifier de façon univoque et harmonisée le concept de « point d’ arrêt » avant d’implémenter un « référentiel des points d’arrêt » sur un territoire.
La spécification technique IFOPT (Identification of Fixed Objects in Public Transport) a largement contribué à clarifier le problème et à apporter une solution. Un des objectifs principaux de ce standard est de considérer les arrêts de Transport Public et :
• de donner une définition précise de ce que l’on considère être un arrêt ou un point d’arrêt,
• de décrire la structure des arrêts,
• de décrire un mécanisme d’identification univoque des arrêts.
Dans ce sens, IFOPT facilite la création d’un référentiel des arrêts du Transport Public.
L’idée maîtresse du modèle IFOPT est celle du lieu d’arrêt. IFOPT définit le lieu d’arrêt comme un endroit comprenant un ou plusieurs emplacements où les véhicules peuvent s’arrêter en vue de charger/décharger des voyageurs et où les voyageurs peuvent attendre les véhicules ou préparer leur déplacement. Chaque lieu d’arrêt comprend un certain nombre de composants qui peuvent être des arrêts physiques, c’est-à-dire des positions d’embarquement, mais aussi des points d’accès (p.ex. entrées/sorties des gares), des zones d’accès (par.exemple des halls de gare ou des salles d’attente), des emplacements d’équipement, des quais, des voies, etc. Cependant le modèle IFOPT comprend quatre sous-modèles :
– Modèle des Lieux d’Arrêt : décrit les « Lieux d’arrêt » et leurs composants (par exemple quais, poteaux, etc. mais aussi des cheminements piétons à l’intérieur d’un « lieu d’arrêt ») ;
– Modèle des Lieux Remarquables : développe la description des lieux situés à proximité des arrêts de TP, ce qui permet d’enrichir le modèle vers des fonctions de guidage à l’extérieur des arrêts ;
– Modèle des Lieux Topographiques : décrit le découpage du territoire en lieux topographiques. Ces lieux correspondent à des zones homogènes de différents niveaux (agglomération, commune, quartier, hameau…) permettant de repérer les extrémités d’un voyage. Un lieu topographique peut contenir un lieu d’arrêt, le desservir ou en être le terminus principal ;
– Modèle Administratif : décrit des zones à l’intérieur desquelles les responsabilités d’administration des données sont homogènes. Chaque objet localisé est affecté à une zone d’administration. Un Administrateur joue un ou plusieurs rôles d’administration (recueil, contrôle de cohérence, etc.) dans la zone considérée.